ACTION DOMICILE vous propose un suivi complet
en connaissance de cause.

« Tu trembles, carcasse… », une réplique de théâtre qui ne fait pas rire
les 120 000 Français qui souffrent de la maladie de Parkinson, car précisément,
le tremblement est le principal symptôme de ce mal.

La maladie de Parkinson est la plus courante des pathologies neurodégénératives après la maladie d'Alzheimer :

• près de 120 000 personnes en France,

• environ 10 000 nouveaux cas signalés chaque année.

Cette pathologie affecte de plus en plus la santé des personnes âgées.

Les personnes atteintes ont des symptômes moteurs (lenteur dans la mise en route et la coordination des mouvements, rigidité excessive des muscles, tremblements…) et des symptômes non moteurs (problèmes de sommeil, perte d’odorat, troubles cognitifs…).

Quatre phases sont décrites dans l’évolution de la maladie :

• La phase initiale est celle des premiers symptômes avec l’annonce du diagnostic. C’est une phase d’adaptation, très intense sur le plan émotionnel.

• La seconde phase qu’on appelle souvent « la lune de miel » fait référence au calme après la tempête. La vie redevient « comme avant » grâce aux traitements. C’est la phase d’équilibre.

• Lors de la troisième phase appelée aussi phase de « fluctuations », on note une instabilité avec les fluctuations motrices et les mouvements anormaux involontaires.

• Lors de la phase d’envahissement on ne peut faire sans la maladie qui a tendance à prendre toute la place. Phase où il faut faire face au handicap lié au développement des troubles de la marche et de l’équilibre. Peuvent apparaître à cette phase des complications dont une forme de démence.

L’arthrose – maladie des articulations – et l’ostéoporose – maladie des os – sont des maladies distinctes mais voisines. On parle d’ostéoarthrite lorsqu’elles sont combinées.

Ces pathologies génèrent des douleurs et des difficultés à se mouvoir et à utiliser ses membres.

Le diagnostic de l’ostéoporose provoque de l’anxiété chez la plupart des personnes atteintes. Leurs préoccupations sont souvent liées à la peur de subir une fracture osseuse – ou une autre fracture si l’ostéoporose a été diagnostiquée à la suite d’une fracture.

La dénutrition est reconnue par l'OMS comme une maladie à part entière qu'il convient de soigner.

Relativement courante chez les personnes âgées, la dénutrition génère ou accompagne le risque de perte d'autonomie.

La déambulation parce que la personne atteinte d’Alzheimer ne sait plus s’orienter ou qu’elle pense devoir aller quelque part en lien avec son passé, chercher ses enfants à l’école par exemple. Ce peut être aussi un substitut d’activité.

L’agitation parce qu’elle ressent un mal être qu’elle ne peut exprimer, l’envie d’aller aux WC, le froid, des maux  de tête….

Des gestes d’opposition et des réactions de défense à des incompréhensions de ce qu’on attend d’elle. La personne malade ne parvient plus à appréhender les  contextes, à reconnaitre les lieux, à associer, à raisonner…

De l’angoisse parce qu’elle ne reconnait ni les lieux, ni les personnes, parce qu’elle plonge dans son passé et doit rentrer, aller au travail, nourrir les poules….

De l’énervement parce qu’elle ne parvient plus à exécuter une action y compris simple comme tourner un robinet, enfiler ses chaussures. Parce qu’elle n’arrive plus à comprendre les mots et à exprimer ses pensées.

Des idées délirantes, des peurs en lien avec une mauvaise interprétation d’un bruit, d’un regard, d’un film à la TV …

Des poursuites de l’aidant ou du soignant comme un poisson pilote parce qu’il est le phare qui le guide.

Des déplacements, des emballages d’objets comme substitut d’activités, pour les cacher de peur qu’on les vole, pour dissimuler une incontinence…

Des propos ou comportements désinhibés parce que les filtres sociaux sont tombés et qu’il subsiste une façon d’être "nature" en lien avec l’environnent, par exemple se déshabiller parce qu’il fait trop chaud.

Des questionnements en boucle, des écholalies pour exprimer une angoisse et parce que la personne ne peut plus encoder les réponses.

Une apathie, une prostration en réaction à des frustrations, des échecs à répétition et un manque d’activités.

La SLA se caractérise par une paralysie progressive causée par la dégénérescence des neurones qui transmettent les ordres de mouvement aux muscles. Cette paralysie affecte à terme aussi bien les muscles des jambes et des bras que les muscles liés à la parole, à la déglutition ou encore à la respiration.

En revanche, les fonctions sensorielles et intellectuelles ne sont pas atteintes : le malade reste lucide tout au long de la maladie.

L’évolution de la maladie se caractérise par la survenue d’un handicap de plus en plus lourd et invalidant au fur et à mesure que les muscles s‘affaiblissent puis se paralysent : progressivement, utiliser ses mains, marcher, parler ou manger, devient difficile puis impossible.

Le début de la maladie est insidieux et l’évolution est progressive. On retrouve un trouble des comportements sociaux avec une difficulté à respecter les conventions sociales. Il y a une atteinte des processus de contrôle et de régulation des conduites

On retrouve également un trouble de l’humeur avec une perte de la compréhension des événements et de leur contexte.

Les DFT se différencient de la maladie d’Alzheimer principalement en ce que :

• dans la maladie d’Alzheimer, la perte de la mémoire ancienne et la difficulté à retenir une information nouvelle sont prédominantes, et les difficultés à se situer dans l’espace importantes.

• alors que dans les DFT, ce sont les comportements sociaux ainsi que le langage qui sont affectés en premier. La mémoire est peu affectée dans les premiers temps de la maladie.

La sclérose en plaques est une affection neurologique touchant fréquemment le sujet jeune et dont l’évolution est difficilement prévisible.

Les symptômes de la maladie sont multiples et retentissent sur l’ensemble de la vie quotidienne de la personne. Ceux-ci se manifestent par notamment des troubles de la motricité, des troubles sensitifs, des troubles de la vision, ou encore des troubles génito-urinaires.

Un symptôme important de la sclérose en plaques est la grande fatigabilité ressentie par le patient

Cette fatigue fait partie intégrante de la maladie au même titre que les autres signes cliniques et ne doit pas être négligée. Pour un patient atteint de SEP, il est difficile de prévoir l’évolution de sa maladie (nombre de poussées, type d’atteinte, âge de début, et évolution des déficits).

C’est la raison pour laquelle une prise en charge médico-sociale adaptée à son évolution doit être recommandée. En effet, chaque patient est unique et chaque situation médico-sociale singulière. Face à toutes ces incertitudes, les angoisses du patient liées à son devenir sont souvent fréquentes des l’annonce du diagnostic.

La maladie de Huntington (MH) est une maladie neurodégénérative rare du système nerveux central caractérisée par des mouvements involontaires choréiques, des troubles comportementaux, des troubles psychiatriques et une démence.

On peut observer sur le plan moteur : démarche instable, agitation, impatience, tics et mouvements saccadés.

Sur le plan intellectuel, on notera la perte du sens de l’orientation, troubles de la mémoire, troubles émotionnels, lassitude, sautes d’humeur, agressivité, repli sur soi…

L'incontinence – perte involontaire d'urine – touche 40 % des hommes et 28 % des femmes de plus de 70 ans.

Symptôme invalidant, l'incontinence reste encore trop souvent un sujet tabou. Pourtant, des solutions existent pour la prévenir ou au moins en limiter les désagréments.

L’incontinence consiste en la perte involontaire d'urine. Plus fréquents chez les personnes âgées, les troubles urinaires peuvent avoir de lourdes conséquences : isolement social et familial, repli sur soi, entrée en établissement...

Sujet trop souvent tabou, l’incontinence est un symptôme invalidant dont on peut limiter les désagréments et que l’on peut prévenir.

Les AVC, mieux connus sous le nom commun d'« attaques cérébrales » , constituent un phénomène préoccupant de santé publique.

• Environ 150 000 personnes sont touchées chaque année en France.

• Les trois quarts des victimes sont âgées de plus de 65 ans.

• Un quart des victimes décèdent peu de temps après l'attaque.

• Les trois quarts des survivants sont handicapés par des séquelles de l'accident.

• Les séquelles sont nombreuses. Elles entraînent le plus souvent un déficit moteur. Mais les personnes victimes d’attaques cérébrales subissent aussi bien souvent des séquelles au niveau des fonctions cognitives. Elles présentent des difficultés à s’exprimer, des pertes de la mémoire, de la notion du temps et de l’espace tout comme de la compréhension. Ces altérations peuvent être très handicapantes pour la personne, comme pour l’entourage de celle-ci, perturbant ainsi gravement la communication entre eux.

• Des séquelles corporelles sont souvent à noter, notamment au niveau des mains. Une personne ayant subi une attaque cérébrale peut se retrouver avec des difficultés à ouvrir les mains ou à effectuer des mouvements dissociés avec les doigts.

Les personnes âgées éprouvent souvent des difficultés à marcher et sont fréquemment victimes de chutes dont les conséquences peuvent être graves.

La fracture du col du fémur, très fréquente chez les personnes âgées, peut entraîner une perte d'autonomie et avoir des répercussions sur la santé générale.

En France, chaque année, 48 000 fractures sont signalées. Entre 12 et 20 personnes sur 100 décèdent dans l'année qui suit cette fracture.

La sortie de l’hôpital doit être préparée le plus tôt possible après l’intervention chirurgicale pour fracture du col du fémur. En effet, des aménagements matériels et des aides à domicile sont souvent nécessaires aux personnes âgées. Pour les aider, l’Assurance Maladie peut proposer différents types d’aides financières.

Le retour sur le lieu de vie habituel d’une personne âgée est possible, mais nécessite parfois des aménagements :

• installation de la chambre en rez-de-chaussée ;

• acquisition d'un réhausseur pour la lunette des WC ;

• pose de barres d’appui dans les toilettes et la salle de bain ;

• mise en place de sols antidérapants ;

• achat ou la location de matériel spécialisé (lit médicalisé, déambulateur, etc.) ;

• mise en place d’une télé-assistance.

Des personnes aptes à vous aider dans votre quotidien sont souvent nécessaires, au moins dans les premiers temps après la sortie d’établissement. Elles accomplissent des tâches telles que le portage des repas, l’aide à la toilette…

pathologies

sommaire

La maladie de parkinson

L'arthrose et l'ostéoporose

La dénutrition

La maladie d'Alzheimer

la sclérose latérale amyotrophique

La maladie de pick

La sclérose en plaques

la maladie de Huntington

Les troubles de la continence

les accidents vasculaires cérébraux (AVC)

Les troubles de la marche, chutes et fractures du col du fémur

En savoir plus

En savoir plus

En savoir plus

En savoir plus

En savoir plus

En savoir plus

En savoir plus

En savoir plus

En savoir plus

En savoir plus

En savoir plus

La maladie de corps de lewy

Elle partage des caractéristiques avec la maladie de Parkinson et la maladie d’Alzheimer.

Les diverses manifestations des symptômes sont directement liées à la répartition des corps de Lewy dans le cerveau.

On retrouve des troubles cognitifs avec des variations prononcées de l’attention et de la vigilance, des hallucinations visuelles récurrentes généralement très précises et détaillées et un syndrome extra-pyramidal.

En savoir plus

LILLE

03 62 64 81 60

ESCAUDAIN

03 27 19 30 08

CARVIN

03 21 29 03 66